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Une grande équipe de France, 6 bateaux, 5 dans les 5 premiers, 3 médaillés

Fin des épreuves de slalom, l’équipe de France et l’encadrement sur une réplique du « Bounty » rejoint les supporters de « La Tribu ». Au 1er plan : Hubert Bourdin (médecin), Antoine Goetschy (DTN), Peggy Dickens (4e K1D), Christophe Prigent (directeur équipe), Fabien Lefèvre (3K1H), Yann Le Pennec (5e C2H), Jérôme Daval (DTN adjoint), Benoît Peschier (1er K1H), Philippe Vuitton (entraîneur), Vincent Redon (entraîneur). Au second plan  : Tony Estanguet (1er C1H), Nicolas Peschier (14e C1H), Mario Scianimanico (kiné), Sylvain Curinier (entraîneur), Michel Saidï (entraîneur), Olivier Sourdes (kiné), Philippe Quémerais (5e C2H).   © E. Poulhe

Une bonne habitude

Fabien Lefèvre (argent K1H), Benoît Peschier (or K1H), Tony Estanguet (or C1H). 1992, 1996, 2000 l’équipe de France de slalom remporte trois médailles. 2004, l’équipe confirme la tradition, avec pour la 1ère fois deux titres olympiques, un grand millésime : © Vandystadt

Peschier et Estanguet champions olympiques, le même moule

Benoît et Tony deux parcours proches : même  génération, débuts précoces en famille leurs pères et leurs frères en bateau leurs mères sur le bord, issus d’un club réputé (Vallon-Pont-d’Arc et Pau), champions olympiques. © R.Thiebaut

Peggy si près du podium

Classée troisième à l’arrivée de la finale, Peggy glisse à la 4ème place après l’affichage tardif d’une pénalité supplémentaire. Le podium lui échappe pour trois centièmes de seconde : déception reste une belle course.  © R.Thiebaut

Philippe Quémerais et Yann Le Pennec dans le match

Ils ont joué avec les grands, deuxième après la première manche. Deux pénalités en deuxième manche, ils se classent cinquième. A quoi tient une médaille ? Une équipe solide 4e aux championnats du monde en 2003 et 2005. © R.Thiebaut

Le combat des chefs

Estanguet ou Martikan ?  La victoire c’est pour l’un ou l’autre mais lequel ? Un duel de colosse, ils naviguent tous les deux à leur meilleur niveau ! A l’arrivée Martikan est annoncé vainqueur, Tony le félicite avec respect. Une pénalité est finalement attribuée à Martikan… Estanguet gagne : « La course la plus intense de ma carrière ». Une course d’exception pour Estanguet et Martikan, ils se classeraient deuxième et troisième de la course des kayaks hommes, du jamais vu, du jamais revu. © R.Thiebaut

Nager une tradition de pagayeur… après la course

Fabien Lefèvre champion du monde 2002 et 2003 est le grand favori des JO. Benoît Peschier un outsider qui gagne.  Reste le respect et le partage entre deux grands champions. © R.Thiebaut

Le cercle familial Peschier

Claude le père, Mireille la mère, Maria Ferekidi l’épouse, Nicolas le frère enserrent Benoît le vainqueur. © R.Thiebaut

Benoit Peschier, premier champion olympique français en kayak

Campbell Walsh 2e (Grande Bretagne),  Benoît Peschier 1er (France), Fabien Lefevre 3e (France). Après trois titres olympiques gagnés par des céistes Français (1952 – 1996 – 2000) Benoît Peschier remporte le premier titre Français à la pagaie double. © R.Thiebaut

Le premier pagayeur français double champion olympique

Michal Martikan 2e (Slovaquie), Tont Estanguet 1er (France), Stefan Pfannmoller 3e (Allemagne). Tony devient le premier pagayeur Français double champion olympique.

Belle image

Fabien Lefèvre submergé par les flots, concentré sur sa trajectoire. © R.Thiebaut