Photos et vidéos

Équipe de France à la pêche

Moment de détente avant Atlanta. L’équipe est en stage à Jonquières au Québec, transport en hydravion vers un lac poissonneux, belle pêche, beau souvenir collectif. Thierry Saïdi (C2H), Anne Boixel (K1D), Patrice Estanguet (C1H), Jérome Lagleize (Kiné), Robert Platt (entraîneur et organisateur de la journée), Hervé Delamarre (C1H), Pierre Salamé (entraîneur).

© FFCK

Adisson-Forgues

Premier titre olympique pour le canoë français depuis 1952.

Après la course, en famille sous l’œil des caméras

Wilfrid Forgues retrouve sa mère et son père.

Thierry Saïdi et Emmanuel Delrey (C2H), Anne Boixel (K1D), Emmanuel Brugvin (C1H)

Le même profil de navigation : rapide, à l’aise dans le gros volume mais la « petite pénalité » qui les écarte du titre (Anne Boixel), du podium (Thierry Saïdi et Emmanuel Delrey, Emmanuel Brugvin).

© FFCK R. Harrison

Jérome Daval, directeur d’équipe comblé

Patrice Estanguet, Myriam Jérusalmi et Jérome Daval le directeur d’équipe. Retrouvez les deux autres médaillés ?

© FFCK

Des médaillés épanouis

Trois médailles, quatre sportifs : Wilfrid Forgues, Frank Adisson, Myriam Jérusalmi, Patrice Estanguet.

© FFCK

Les félicitations de Philippe Seguin, Président de l’Assemblée nationale

Quatre spinaliens en course, Laurent Burtz (4e K1H), Hervé Delamarre (5e C1H), Thiery Saïdi et Emmanuel Delrey (5e C2H), le maire d’Epinal, Philippe Séguin, était présent en spécialiste. Le soir, Philippe Seguin, Président de l’Assemblée nationale félicite les médaillés et l’encadrement. Patrick Monier (DTN adjoint), Robert Platt (entraîneur), Hervé Madoré (DTN), Marcel Venot (Président FFCK) Patrice Estanguet (3e K1H), Myriam Jérusalmi (3e K1D) et Philippe Seguin. Welcome Valley village, Tennessee

© S. Deltour 

Les champions olympiques roulent grand train

Frank et Wilfrid, voiture de sport et champagne.

Fin 1996, la douche froide

Après le réel succès (médiatique, financier, sportif) de l’édition 1996, le comité d’organisation des JO de Sydney décide de supprimer les épreuves de slalom de l’édition 2000. Le monde du slalom se mobilise internationalement et propose de modifier le protocole de course, de réduire les coûts de construction du bassin, de sécuriser l’exploitation des équipements post-JO, d’augmenter le nombre de nations pratiquantes. Ce combat du petit contre les grands paraissait perdu d’avance. Pourtant, lors des championnats du monde de septembre 1997, au Brésil, le président de la FIC, Sergio Orsi peut annoncer : « Le slalom poursuit sa route »… mais rien n’est jamais acquis.

Illustration du  journal l’équipe, novembre 1996, Chenez.